© Archives École Apostolique de Chicoutimi
illustration de la page de garde : Laetitia Giraud
Un auteur de romans noirs est bouleversé lorsque sa nouvelle compagne lui annonce qu’elle veut avoir un enfant de lui. Désarçonné, il n’arrive plus à poursuivre l’écriture du livre qu’il a mis en chantier. Cherchant à se sortir de ce passage à vide et à s’assurer de sa capacité à être un bon père, il fait un retour sur sa vie et, peu à peu, le récit d’un épisode crucial de son enfance – son expérience de pensionnaire dans une école religieuse – se substitue aux péripéties du roman en cours.
Mettant en scène un enfant hypersensible, marginalisé dans son milieu et obsédé par sa mère absente, On n’entend plus jouer les enfants nous restitue la vision du monde d’un jeune garçon au tournant des années 1970 dans la région du Saguenay. Cette oeuvre humaniste et sensible, traversée par un questionnement sur la filiation, l’amour et l’écriture, propose au lecteur une vision intimiste et surprenante de la vie peu connue des jeunes pensionnaires en région.
Lancement du livre à Jonquière
Photos du lancement
Lancement du livre à Chicoutimi
Photos du lancement
Soirée de célébration des 5 ans de la maison d'édition
Allocution d'Allen Côté
REVUE DE PRESSE
Page par Page | Vicki Milot | 9 février 2018
« On n'a aucun mal à s'attacher au personnage principal – Alex – qui, dans sa quête, devient si crédible qu'on a l'impression de le voir littéralement défiler sous nos yeux. »
Bulletin de l'AREQ | Claire Chainey | Janvier 2018
« Une œuvre originale empreinte de sensibilité. »
L'Express de Toronto | 17 décembre 2017
Les 5 coups de cœur de 2017 de Paul François Sylvestre
« Voici un roman qui illustre à quel point l'écriture permet de transcender la réalité. »
Mission Encre noire CHOQ FM | 10 octobre 2017
Éric Chouan s'entretient avec Allen Côté
Le Devoir | Yannick Marcoux | 16 septembre 2017
« Récit de réapprentissage, le narrateur s'engage ainsi sur le chemin de la réconciliation avec son histoire propre. Tandis que la fable s'ancre dans un décor optimiste qui nous est bien rendu (...) »
Les Méconnus | Christine Turgeon | 27 septembre 2017
« Il est aisé de se laisser glisser sur le style simple d’Allen Côté. Peu de fioritures. L’auteur s’emploie à trouver le mot juste. Il réinvestit le temps et l’espace à travers ses descriptions : des allers-retours de l’enfant à l’adulte, mais aussi de Saguenay à Montréal. Les gens de la région auront plaisir à retrouver des lieux connus à travers les tableaux qu’en fait le narrateur. »
Pause Lecture | 17 Septembre 2017
Allen Côté répond au questionnaire de Pause Lecture
Ici Saguenay–Lac-Saint-Jean | 17 septembre 2017
Allen Côté s'entretient avec Julie Larouche.
Salut Bonjour week-end | Chrystine Brouillet | 17 septembre 2017
Le Cochaux show CFLX 95,5 Sherbrooke | 13 septembre 2017
Allen Côté parle de son roman dans un entretien avec René Cochaux.
Le Quotidien | Daniel Côté | 8 septembre 2017
« Ce récit est d'autant plus émouvant qu'on lui trouve des accents de vérité et, justement, c'est la partie du roman qui se moule le plus étroitement à la biographie de l'auteur. »
Ton barbier | Pierre-Alexandre Buisson | 7 septembre 2017
38 livres québécois essentiels en septembre : « ... on est déjà conquis par son style direct et touchant. »
Le Cochaux show CFLX 95,5 Sherbrooke | 15 août 2017
René Cochaux s'entretient avec Annika Parance
Le Devoir | Fabien Deglise | 2 septembre 2017
« Les spectres ne sont d'ailleurs pas qu'en Gaspésie ou au nord du Lac-Saint-Jean. Ils sont aussi au Saguenay, dans On n’entend plus jouer les enfants (Annika Parance), d’Allen Côté, pour soutenir un homme bouleversé par sa femme qui lui dit vouloir un enfant. »
Les Libraires | Alexandra Mignault | Septembre - octobre 2017, page 35
L'un des romans de la rentrée à surveiller, sous la rubrique des « Personnages en quête identitaire ».